Nombre de messages : 230 Année : 3ème Option : Droit Célébrité : Gemma Arterton Crédit : Mach' / Tumblr Date d'inscription : 12/10/2008 Jukebox : Sympathy for the devil - The Rolling Stones; Let's dance/ Life on mars- David Bowie; Sadness is a blessing - Lykke Li; Friday i'm in love - The Cure; You only live once - The Strokes; Pile driver waltz - Alex Turner; Albion - The Babyshambles; Walk on the wild side - Lou Reed; Femme Fatale - The Velvet Underground; et tant d'autres...
Sujet: Eileen Weir | Delightful Australian Character Dim 12 Oct - 14:52
Bonjour, Je viens de m'inscrire sur le forum, j'avais vu que le personnage Eileen Weir était à prendre mais pas réalisé que quelqu'un s'était déjà inscrit sous ce nom il y a si peu de temps. Est-ce que le personne est vraiment vacant ?
Dernière édition par Eileen Weir_ le Lun 13 Oct - 19:34, édité 1 fois
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Sujet: Re: Eileen Weir | Delightful Australian Character Lun 13 Oct - 20:07
Dans ce cas je m'y mets dès maintenant. EDIT : Fiche de présentation... désolée pour le flood inutile.
.: PERSONNAGE :.
Nom : Weir
Prénom : Officiellement, Eileen Grace mais la plupart du temps on se contente d’Eileen.
Age & Année : Eileen est âgée de 20 ans et entame donc sa troisième année à Harvard.
Option : Littérature
Fraternité: Kappa.
Liens avec d'autres étudiants : Megan Miller et Hayden Byrne sont ses plus proches amies. Elle aurait des vues sur trois étudiants différents : Nathan Eatson, Ethan Reid et Matt Evans.
Signe particulier : Aucune
Addiction : Adepte d’une version soft de la rock’n’roll attitude de la jeunesse d’aujourd’hui Eileen est constamment fourrée dans toutes sortes de soirées en tout genre. En somme, la jeune fille est une accro de la vie nocturne et (aux boissons s’y trouvant forcément) - rien de très original pour une étudiante.
Caractère[ Au moins 6 lignes complètes ] : Jusqu’à aujourd’hui personne parmi l’entourage de la jeune australienne n’a été capable d’en faire une description exhaustive, et pour cause, du haut de ses vingt ans ce petit bout de femme possède une personnalité des plus singulière. Peu encline à l’ennui ni à la solitude, elle se révèle être au quotidien un vrai feu follet. Sans cesse en action, toujours partante pour sortir, s’amuser, boire un verre… Eileen est une petite chose à la fois amusante et spirituelle, dont les principales activités – les études mise à part – avaient tout de superficiel. Et elle n’en reste pas moins captivante, la petite australienne, même son joli minois n’arrive pas à expliquer cet attrait qu’elle exerce sur les gens en général, peut être cette séduction innée vient de l’aura de folie douce émanant d’elle. Ou de cette impressionnante douceur qu’elle parvient à conserver, malgré ses fréquentations, malgré l’aigreur du monde qui l’entoure. Car avant toute chose, Eileen Grace Weir revendique cet utopisme qui est sa marque de fabrique, cette légèreté sans égale et cette gentille indifférence qu’elle sait si bien opposer à ceux qui l’ennuient. Comme beaucoup de jeunes de sa génération, la jeune fille ne possède aucun besoin d’attache, aucune envie de dépendance et c’est pourquoi elle préfère papillonner d’histoire d’un soir à histoire d’un soir sans se soucier des qu’en dira t’on. Enfin ‘histoire d’un soir’ est un mot bien vague, car la jeune fille malgré son caractère enjoué et volage est définitivement bien difficile à saisir. Le plus souvent ses résolutions finissent par l’emporter et elle se contente d’un flirt passager mais il suffit d’attiser suffisamment sa curiosité pour qu’elle se lance dans de complexe chassé-croisé…qui finissent par la lasser.
Histoire[ Au moins 18 lignes complètes ] : Eileen Grace Weir naquit un certain 18 septembre, à Canberra, d’une mère anglaise et d’un père australien. Elevée au plein centre de la capitale australienne, dans une famille appartenant à la classe moyenne, la jeune fille connut une enfance et une préadolescence des plus banales, au côté de sa sœur cadette, Anna. Aucun fait marquant ne vint troubler l’enfance des deux petites Weir, chose qu’aujourd’hui encore Eileen revendique fièrement comme « un cadeau du ciel ». Malgré les nombreuses différences existantes, Eileen noua des relations amicales avec toute sorte de personnes, d’une personnalité très ouverte et douée d’un charisme inné, la jeune fille connut très vite le rythme effréné des soirées de la jeunesse dorée (ou bien moins aisée parfois) de la capitale australienne. Elève plutôt douée sans être brillante, elle traversa ses années de lycée avec le même vague sourire rêveur, bien trop distraite voir évaporée pour briller vraiment. De toute façon seule la littérature trouvait grâce à ses yeux, peut être par péché d’orgueil d’ailleurs car se connaissant des aptitudes naturelles dans cette matière. Plus insouciante qu’indifférente quant à son avenir, la jeune fille n’avait fait des démarches seulement de pures formes pour entrer à Harvard, ce qui rendit sa surprise lorsqu’elle se trouva acceptée dans la prestigieuse université américaine. Toute prétention à convaincre sa sœur de la suivre dans cette nouvelle aventure étant vaine, Eileen appréhenda les années à venir, ou, dans un futur plus proche, ne serait-ce que le voyage à venir. Mais heureusement, elle apprit bientôt que l’une de ses amies rentrerait à Harvard à ses côtés. L’année avec Megan s’annonçait plutôt haute en couleur… Seulement, la cohabitation loin de leur terre natale révéla beaucoup de différences entre les deux étudiantes qui se terminaient souvent en stériles disputes… qui ne restait pourtant jamais très longues. C’est ainsi que Eileen fit la connaissance de Hayden Byrne, autre émigrante de la fameuse terre des kangourous et dont l’espièglerie plut immédiatement à la jeune Weir.
Harvard, nouveau terrain de jeux, nouvelles mises. Reste à la jeune fille de continuer à faire ce qu’elle fait de mieux : s’amuser.
.: HORS-JEU :.
Prénom/Pseudo : Aude
Âge : 15 ans
Avatar : Emily Browning
Comment avez-vous connu le forum ? J’ai oublié.
Votre niveau RP :
Spoiler:
Le silence. Ce paradoxale silence dans lequel chaque être aimait à s’enfermer lorsque les mots ne sont pas nécessaires et qui pourtant faisait subir les pires tourments à ceux qui, comme Enola, avaient bâtis leur vie sur un silence. Lourd et âcre ce goût dans la bouche lorsque l’on s’étouffe à ne pas pouvoir parler parce que personne ne vous écoute. Cette envie de hurler contre l’indifférence des passants dans la rue, cette envie de hurler à ces gens si pressé d’oublier votre visage et la douce douleur qui s’y peint peut à peut. Lâche New-Yorkais. L’individualisme faisait rage dans cette ville comme dans beaucoup d’autre d’ailleurs. Mais il existait une autre sorte de silence, cette absence de bruit vécut à deux, à trois mais jamais seul. Cette absence de paroles qui devient partage et compréhension et qui relève de m’échange. Cette plénitude la jeune femme ne la retrouvait que lorsqu’elle évoluait dans le cadre de son travail. Car Enola Andrews n’était plus la douce et fragile jeune femme qui entrait et sortait parfois du MET une fois à proximité d’une toile. Seule restait son âme intensivement artistique et cette envie d’exprimer l’art par l’art. Ce besoin imminent de dessiner, d’esquisser de tracer dans la ligne de ce qu’elle voyait, de ce que son regard différent de celui des autres pouvait voir, toucher, sentir dans la simple disposition d’un objet ou dans un sourire d’enfant. Un sourire, celui échangeait avec la petite fille sur le toit la hantait encore. Quelque chose lui avait totalement échappé dans cet échange désintéressé quasiment anti New-Yorkais. Elle se surprit à esquisser mentalement le contour d’une bouche, puis d’un œil. Cet étrange univers qui était le sien avait parfois le dessus, lorsque son envie de peindre ou de crayonner reprenait vie, Enola se contentait de se retrancher derrière des murailles. L’art était le seule lien qu’elle avait gardé avec son passé. Autrefois, celui qui avait été tout pour elle, un frère, un ami, un confident et même un amant, avait tenté de la convaincre de vivre de ces dessins de ces toiles qu’elle finissait inéluctablement par jeter dans des sursauts de désespoir qui jamais n’aurait eut cours à l’époque ou seul lui comptait. Enola avait tenté d’expliquer que le talent, si talent il y avait, ne suffisait pas lorsque l’on décidait d’exposer ces propres œuvres. On devenait artiste avant tout en imposant sa vision des choses aux gens et la jeune femme n’était pas de ceux qui s’imposent…
Le regard de David flottait entre elle et le jardin. Le jardin et elle. Inéluctablement revenait à elle, e elle comprit que ce regard ne la gênait pas. Il avait remarqué son geste et n’avait pas fait un seul commentaire. Jusqu’à ce qu’il brise de nouveau le silence.
Jamil ? David ? Quelle importance ? Pourtant il y en avait une, la façon dont les autres vous nomme et vous considère et parfois porteuse de votre personnalité.
« Enchantée. Appelez moi Enola »
Ces mots avait une froide indifférence qui déplaisait à la jeune femme, avisant le thé qu’il avait posé devant elle, Enola ajouta :
« Merci. David ? Jamil ? »
Après un bref silence, elle finit par poser la question qui lui brûlait les lèvres :
« Et pourquoi Jamil, si ce n’est pas trop indiscret ? »
C’était indiscret, Enola le savait. Aussi loin que remonte ses souvenirs, elle avait toujours posé des questions ainsi, brusques mais polies et simples, très simples. Il y avait quelque chose de très enfantin dans la façon avec laquelle se questions étaient posées.
Cet exemple là est très ancien mais je n'en ait pas trouvé d'autres.
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Sujet: Re: Eileen Weir | Delightful Australian Character Mer 15 Oct - 21:40
Bienvenue (avec un giga retard pour le coup désolée)
En ce qui concerne l'avatar, si tu l'as modifié avec photoshop sans mettre "aplatir l'image" ou chais pas quoi (bah oui chuis nulle je vous le rappelle...), c'est normal qu'elle ne s'affiche pas.
Si c'est pas ça, alors je suis encore plus nulle que ce que je croyais et dans ce cas là je ne peux pas t'aider
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